04 janvier 2024
MERCI AUX ÉBOUEURS ET ÉBOUEUSES par Mirko Popovitch
Tôt le matin, ils courent d’un trottoir à l’autre, les bras chargés de déchets.
Sous la pluie, dans le froid, ils ramassent les restes de nos fêtes, de nos excès.
On les voit à peine, sauf quand derrière le camion, on râle parce que ça traine.
Comment ferions-nous sans eux ? Feront-ils cela toute une vie ?
N’est-ce pas cela un métier pénible ?
Beaucoup prennent soin de présenter les poubelles proprement, au bon endroit.
Un sourire, un bonjour, un geste feront le reste, merci aux éboueurs (euses) de Bruxelles.
Photo prise rue Grates au lendemain d’une fête, l’employé n’a pas résisté à revêtir ce carton déposé sur les sacs jaunes.
Tout cela pour vous souhaiter une BOUNE ANNEE !
Mirko Popovitch
Catherine Kestelyn
Publié à 10:34h, 05 janvierJe me joins à ta reconnaissance, Mirko!
D’autant que j’habite au Krekelenberg, une petite rue qui monte du rond-point Wiener vers la forêt.
Première montée, suivie d’un premier tournant à angle, non pas droit mais déjà aigu, nouvelle pente pavée, puis au sommet un tournant quasi en épingle à cheveux, pour redescendre par la rue du Grand Veneur. Comme on est pour la plupart bien bobo dans cette boucle (pas tous, pas tous…), il y a une, voire deux voitures par ménage, certaines assez longues et larges. Puisqu’il y a pour certains ménages deux voitures, si tout le monde est à la maison, et reçoit en outre éventuellement des invités eux aussi motorisés, des voitures sont garées à des endroits pas vraiment adéquats: juste avant, voire dans les tournants. Va-t-en manoeuvrer ton gros camion Bruxelles Propreté dans l’étroit boyau qu’elles te laissent! Va-t-en klaxonner désespérément pour que le ou les chauffeurs concernés enfilent leur robe de chambre à 6h du matin pour dégager le passage!
Bref, au Krekelenberg, la vie est confortable et paisible, sauf aux aurores, quand tout le monde est rentré dans ses foyers!
Meilleurs voeux aux hommes et femmes qui nous débarrassent de nos poubelles!