L’Asymptomatique un nouveau webmagazine

Vous êtes fan des chansons et des chroniques de Claude Semal ?

Vous suivez le blog et les « points d’ironie » d’Irène Kaufer ?

Alors, vous apprécierez sans nul doute « L’Asymptomatique ».

Nous vivons des temps inouïs.

Il y a un an, aucun·e d’entre nous n’avait entendu parler du coronavirus, des aérosols, du gel hydro-alcoolique et des pangolins.

En quelques mois, un micro-organisme a mis à genoux nos infrastructures de santé, déstabilisé toute l’économie mondiale, provoqué de profondes crises idéologiques, politiques et sociales.

Ici, des Etats ont mobilisé des moyens de guerre, décrété des couvre-feux, mis sous cloche nos libertés publiques. Mais ces hôpitaux en état de siège, ce sont les politiques néolibérales qui les avaient d’abord désarmés.

Certain·es ont réagi par la panique, en s’enfermant dans leur bulle et se coupant de tout contact. D’autres se sont réfugié·es dans le déni, en refusant toute mesure sanitaire, et en relayant parfois sur les réseaux sociaux les plus abracadabrantes théories.

Entre la parano et l’aveuglement, entre la dictature sanitaire et le laisser-faire Trumpien, il doit pourtant y avoir une place pour la raison, la solidarité, l’impertinence et l’ironie.

C’est avec cette ambition que nous créons « L’Asymptomatique », un webmagazine autofinancé par ses lecteurs.

Certains contenus changeront tous les jours. D’autres, toutes les semaines ou tous les mois. Vous pourrez commenter la plupart des articles. Nous vous ouvrirons aussi la porte de nos archives.

Michel Boudru, est notre graphiste et Web Machin.

« L’Asymptomatique » est donc d’abord pour nous un outil d’expression et un plaisir partagés.

L’accès au contenu de « L’Asymptomatique » sera payant : il faudra s’y abonner.

Nous ne voulons toutefois pas que l’argent soit une barrière entre nous.

C’est pourquoi, le prix de cet abonnement sera laissé à votre libre-arbitre. D’un euro par an à… ce que vous voulez ou pouvez souscrire. Et avec une moyenne de 20 euros par an et par abonné·e, ce qui nous semble réaliste, nous financerons ce projet.

Auteur, chanteur et comédien belge, Claude Semal vit à Bruxelles, mais a parfois le coeur périgourdin. Il a enregistré une douzaine d’albums de chansons “françaises” et monté une trentaine de spectacles. Son intégrale vient de sortir chez Igloo Records (“Semal la Totale”). Entre 1974 et 1980, il fut aussi, avec Irène Kaufer, un des piliers de l’hebdomadaire “POUR”.
Ses chroniques ont régulièrement été publiées dans “Le Chien Ecrasé”, le magazine “Imagine” et “Marianne-Belgique”.
Son site : www.claudesemal.com

Irène Kaufer est arrivée en Belgique, venant de sa Pologne natale, avec l’Exposition universelle de 1958, un peu comme la dixième boule de l’Atomium. Psychologue non pratiquante, journaliste sans carte de presse, elle fut aussi, entre 1974 et 1980, avec Claude Semal, une des pilières de l’hebdomadaire “POUR”. A cette aventure elle a consacré, outre quelques nuits blanches, un polar intitulé « Fausses pistes » (Luc Pire, 1995), dont les derniers exemplaires traînent au fond d’une armoire aux côtés d’un livre d’entretiens avec la philosophe féministe Françoise Collin (« Parcours féministe », Labor 2005 et iXe 2014) ainsi qu’un recueil de nouvelles (« Déserteuses », Academia l’Harmattan, 2015). En attendant l’arrivée de « Dibbouks » qui devrait paraître chez l’Antilope en 2021. Elle est aussi l’autrice de l’impérissable « Rock des femmes » écrit en 1981 pour Christiane Stefanski.

Elle fut par ailleurs la tenancière du Café Carabosse pour la revue Politique, et collabore toujours au magazineAxelle.

Son site : www.irenekaufer.be